L'existentialisme est sentimental. Ou pas
Il m’inspire. Il me redonne cette envie, ce besoin d’écrire, qui m’avait tant manqué.
Non, ce n’est pas grâce à un amour de légende qui aurait pu nous cueillir tous les deux.
Non, au contraire, rendez-vous compte, c’est par la douleur qu’il me donne, les blessures que j’ai reçues, que je retrouve le plaisir de jouer avec les mots.
Eux, ils me réconfortent, c’est une joie simple que de trouver l’harmonie d’une pensée, d’une phrase. Et puis ils chassent la tristesse, m’entraînent bien loin de moi-même, de mon présent, de ma réalité un peu sombre.
De retour sur terre, il ne me reste qu’une vague amertume, et à son côté viennent se ranger un nouveau désir de vie, de combat, de rêve. Je suis à nouveau dans le droit chemin de l’optimisme, et je relativise tant qu’au bout de mes réflexions, plus rien n’a d’importance.
Je suis là, tout simplement. Je suis libre, je vais bien. Tout ce qui importe se résume à ça.
Donc, pour vous, et pour moi, je vous livre un petit assortiment de lettres, et de mots, qui pourrait éventuellement se raccrocher à un autre texte, si jamais la nouvelle qui prend forme dans ma tête vient à s’accomplir. Suivez les panneaux « nouveauté » !